Article issu du journal "RTBF info.be " écrit par Bénédicte Alié Diminuer les conflits entre élèves, à l'école, c'est possible.
Depuis une semaine, l'école communale de Wanzeapplique un concept basé sur un "code couleur" qui divise la cour de récréation en différentes zones d'activités et de jeux. Un concept qui a aussi pour objectif de prévenir le harcèlement en milieu scolaire. Pendant la récréation, Lucas, sept ans, aime jouer dans la zone jaune. "C’est l’endroit où on peut jouer à la pétanque et au domino. On peut aussi lire et dessiner". La cours est ainsi divisée en quatre couleurs. Dominique Guisse, directrice de l'école communale de Wanze. "Il y a une zone rouge où on peut jouer au basket et au foot. Dans cette zone-là, on peut courir. Dans la zone verte on peut courir mais on ne peut pas jouer au ballon". Et enfin la zone bleue qui comporte des jeux tracés sur le sol comme par exemple, le jeu de la marelle. A l'origine de ce concept, qui concerne aussi le secondaire, le psycho-pédagogue Bruno Humbeekqui, il y a 5 ans, s'est attelé à un important projet. "C’est la prévention des violences visibles et invisibles, scolaires et périscolaires parce qu’on touche aussi au cyber-harcèlement. Le but du jeu : c'est de rendre aux enseignants la maitrise de leurs espaces et des groupes dont ils doivent gérer le vécu. Si je vous dis que votre enfant est en train de souffrir dans un espace, vous allez essayer de pénétrer cet espace d’une manière ou d’une autre. Or la place des parents n’est pas dans l’école. C’est pour ça qu’il est impératif de donner aux écoles des moyens de répondre aux parents". A Wanze (Belgique) Nathan, onze ans, joue dans la zone rouge. "Il y a un timing pour les 6éme, les 5éme et les 4émes. Il y a un timing différent pour les 1ères, 2èmes et 3èmes et c’est vrai qu’il y a moins de bagarres". A ce jour, 160 écoles de la Fédération Wallonie Bruxelles se refèrent à ce concept. Bénédicte Alié
2 Commentaires
C'est un mouton à 5 pattes, une façon différente de voir les choses, c'est poser son regard sur l'Entreprise avec un autre angle de vue. Lorsque j'ai voulu commencer mon métier il y a 15 ans à présent, je voulais faire deux choses : créer des belles choses et les vendre . En premier j'ai aimé collecter des images, des idées, être en veille permanente pour tout savoir dans mon domaine. Curieuse, Je suis très curieuse , j'aime comprendre. Pour faire ce métier il faut avoir sans cesse les sens en éveil, regarder, écouter , puis analyser, piger, anticiper et entreprendre. L'entrepreneur avance, réfléchit, prend des décisions ou les contourne, bref, il est dans le mouvement perpétuel. Notre métier c'est d'avoir le nez au vent et de faire le lien entre cet Entrepreneur, le créateur, le marché. Ne jamais être au centre de l'Entreprise, être un électron libre, pousser l'Entreprise à penser différemment à faire autrement, voir ce que souvent d'autres ne voit pas. Matière184 possède une expertise dans le domaine de la décoration, de la Mode, de la Couleur. Mettre en valeur un lieu de vente pour vendre plus , pour surprendre une clientèle qui évolue en fonction de son état d'être. Tenir compte du savoir faire métier de l'Entreprise, l'importance du métier. C'est tout cela le marketing et le style, tendance, optimisme, et un autre regard sur le métier pour capter de nouveaux clients. Laurence Barbier / Mon parcours en Entreprise.
C'est une petite exposition que nous offre le musée Cognac Jay pour sa réouverture . Le musée en confie l'accrochage et la mise en scène à @christianLacroix comme pour rendre l'affaire plus amusante. Le musée est drôlement aménagé et monsieur Lacroix a eu cette idée saugrenue mais sympathique de placer côte à côte des époques où les gestes et coutumes ( les façons de faire ) sont identiques mais les comportements ont véritablement changés. Et ainsi les époques se bousculent entre 18 ème siècle .Et 21ème siècle . Cela peut déranger certains , les choix sont quelquefois inattendus . Mais jai aimé cette idée de "choquer " les époques entre elles. Expo musée Cognac Jay à Paris jusqu'en juillet je crois bien :-)
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AuteurLaurence Barbier Archives
Janvier 2018
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